Dans tous les pays du monde le viol est utilisé comme arme de guerre et la France n’y coupe pas. Là où je m’interroge c’est de mettre cette information face aux 100% des violeurs et pédophiles en liberté dans notre pays.
Comment ces violeurs qui ne sont jamais jugés ou condamnés peuvent-ils être une arme contre nous et au bras de qui ?...
S’ils sont une arme contre nous, les femmes, productrices d’humains, responsables de l’éducation de la société, à quoi, à qui sert d’utiliser cette arme sinistre sans jamais prévenir, guérir, lutter réellement contre le viol ?
Réponse : à l’argent.
En laissant les violeurs et les pédophiles en liberté en France, les premiers bénéficiaires de cette injustice sont ceux et celles qui vivent de ce système posé sur l’argent.
Pourquoi ?
Parce que pour éviter les viols, il faut s’en protéger et pour s’en protéger, il faut un protecteur qui in fine sera toujours : l’argent.
Donc, la condition à l'existence et au maintien de ce système violent est l'argent. Ce système nous viole en nous obligeant à "jouer" avec lui pour avoir de l'argent qui nous protège de lui... Un cercle vicieux.
Car ce protecteur dont nous avons besoin face à tous nos amis violeurs et harceleurs, tarés de tout bord laissés dehors, sera soit un homme qui a de l’argent, soit un travail qui donne de l’argent à la femme et donc lui donne les moyens de se protéger. Mais ce ne sera donc jamais la justice et le droit.
Dans l’urgence d’une adaptation nécessaire contre cette arme de guerre laissée chargée et en libre service dans nos sociétés, nous négligeons nos aspirations réelles en terme professionnel (je choisis le métier qui gagne le plus et qui me mettra le mieux à l’abris de la violence et non celui que je souhaitais faire), mais aussi en terme amoureux (je choisis l’homme le plus riche et non l’homme le plus doux) ou social (je choisis mes amis parce qu’ils sont influents et non parce qu’ils sont drôles).
Le système nous pille donc de toute notre vie réelle, celle à laquelle nous avions droit, pour se mettre à la place et nous violer jusqu’à la mort avec une vie qu'il nous fait acheter alors même qu'elle est gratuite. Bonjour TF1...
Les victimes des viols physiques et moraux sont celles et ceux qui n’ont pas d’argent pour s’en protéger ou ceux qui ne participent pas au système (en étant l’amie de l’amie du juge, la femme du notable ou la petite amie du ministre des comptes ou de l’égalité des genres)…
Mais les victimes du viol social sont aussi de l’autre côté de la barrière de l’argent, celles et ceux qui se sont vendus pour un appartement, une maison, un sentiment de sécurité qui asservit les autres par leur fait, mais leur évite la peur, la faim et le manque. Ceux et celles qui ont épousé le bon parti et le déteste à en vomir, qui ont les bonnes voitures, les bons enfants, mais la mauvaise vie : celle que le système leur a vendu en les plongeant dedans de la tête aux pieds pour éviter… Le système.
Ils sont peut être plus mort que les autres ceux là, car ils sont vidés d’eux même : leur humanité. Ils l'ont vendu, consciemment, ou pas.
Il n’y a pas de culture du viol, il y a une guerre économique contre tous les français et les françaises, qui favorise la violence pour nous maintenir dans un environnement lui même violent entretenue par des "bénéficiaires" qui nous conduisent à des systèmes scolaires malveillants, des emplois abrutissants et une fin de vie désastreuse et injuste pour conclure ce brillant parcours morbide.
Oui, le viol est une arme de guerre. Une guerre que mène la démocratie française contre ses propres citoyens. Pour l’argent.